Monica CATTANEO est née à Florence en Italie. Dès son enfance Monica a baigné dans la culture. Les visites de musées et d’églises de la ville l’ont beaucoup inspirés. Elle a suivi des études d’architecture et après son mariage, elle s’est installée à Genève en Suisse et a commencé à peindre en autodidacte en s’inspirant de livres. Depuis quinze ans, elle habite en Haute-Savoie. Elle expose régulièrement dans les salons et manifestations artistiques, au sein du cercle des artistes européens et participe régulièrement aux salons et autres manifestations artistiques. L’artiste aime le côté imaginaire de la peinture.
Auteur/autrice : Delphine Jonckheere
Projet d’illustration, « Coquin et Cocasse » présente des dessins sensuels aux couleurs pop. A l’origine de la création du compte Instagram éponyme, Léo Catonnet parle du Polyamour à travers des dessins hauts en couleur et zéro tabou… Ce projet très personnel tout droit sorti de sa vie privée est à mi-chemin entre la communication et l’illustration…
Le besoin de prendre son temps est pour lui devenu une nécessité. Vincent décrit son travail en 3 mots « Bonheur, partage et cheminement ». L’artiste nous livre dans une interview son univers porteurs de valeurs…
C’est en dessinant au stylo à bille qu’elle a vraiment trouvé son univers. Elle remplit des carnets à dessin sans intention de les montrer jusqu’à ce que son entourage l’a pousse à les exposer. Patricia Cronier Zohar les présente pour la première fois au Salon International des beaux-arts de Thionville en 2017, où elle a reçu le grand prix du Salon.
Elle dit que l’art est sa passion, son amour, sa motivation. Russe, Yulia Artemyeva est née et a grandi à Nijni Novgorod. Sa passion pour la photographie l’emporte sur ses études d’économie et elle fait l’acquisition de son premier appareil photo durant sa grossesse. Aujourd’hui, elle ne peut imaginer sa vie sans son téléobjectif.
Yulia fait un parallèle entre la grâce et la notion d’éphémère, communes aux danseuses et aux fleurs…
Dans le numéro précédent, nous étions entrés ensemble dans le processus de création que chaque artiste vit lorsqu’il créé. Et de ce fait, le processus thérapeutique mis en œuvre dans des séances d’Art-Thérapie. Nous étions parvenus à cette étape fondamentale qu’est l’étape 5 de l’Opération Artistique. Le passage à l’acte de créer, l’élan vital qui pousse l’artiste – ou le patient en Art-Thérapie- à se mettre à produire.
Inventée aux Etats-Unis par Edward Goodrich Acheson à la fin du XIXe siècle pour différents usages industriels, le carborundum – une poudre reconnue pour ses qualités abrasives – est ensuite exploitée pour l’estampe par Henri Goetz à partir du siècle suivant. Il s’agit d’une poudre composée de carbure de silicium, matériau résistant aux fortes pressions et donc, au passage sous presse. Utilisé dans les arts visuels, il permet donc la réalisation d’estampes.
Entre Duchamp et Warhol, la photo des Augustins joue des codes surréalistes
Des fonds roses, des têtes de morts, des accessoires, des bas-résille, des corps désarticulés, dénudés, des visages masqués…Sulfureux, artistique, commercial, acidulé… le travail photographique du studio Les Augustins ne laisse personne indifférent.
Comme un sculpteur ou un peintre, ses photos sont le résultat de soustraction autant que de construction qui donnent lieu à un travail artistique où se côtoient l’univers acidulé faussement innocent de Lio et l’œuvre de Marcel Duchamp. Ce qui anime le photographe et fondateur du studio Les Augustins, c’est la composition : « Je suis particulièrement intéressé par les surréalistes, la période dada et les grands maîtres de la peinture classique. La plupart de mes confrères cherchent à capter l’instant, moi, c’est tout le contraire, déclare-t-il, mon travail est étudié, composé. »
Rencontre avec l’artiste Xkuz à l’espace éphémère « Transition » d’Abbeville. L’artiste nous emmène dans les coulisses de cette incroyable exposition où près de 100 artistes issus d’ici et d’ailleurs ont envahi les lieux et pris possession de 22 appartements d’un bâtiment voué à la destruction. Xkuz nous raconte lors d’une interview son histoire..
Avez-vous fait des études d’arts ? Comment est venue cette passion pour l’art urbain ?
« J’ai fait des études d’infographie et de webdesign dans une école qui s’appelle Itecom à Paris. J’ai découvert la culture du graffiti en écoutant du rap, étant donné que j’adorais dessiner c’est tout de suite devenu une évidence pour moi. »
Depuis combien de temps faites-vous partie de cette grande famille des cultures urbaines ?
« J’ai utilisé ma première bombe de peinture dans la rue en 1998, il y a 23 ans. »
Au lieu de fermer des poulaillers ou des jardins avec ce grillage sommaire, Daniela révèle des formes figuratives et crée des pièces inspirées de la mythologie étrusque mais aussi des hommes, femmes et enfants. C’est tout un univers onirique qui s’offre aux spectateurs.
C’est en Lombardie, à Monza près de Milan que Daniela Capaccioli fait ses premiers pas. Dès son enfance, elle a le don et le goût pour l’observation. C’est en l’an 2000, lors de son installation en France que Daniela s’adonne à la sculpture… en terre cuite.