Quand la peinture devient un cri lumineux
Christophe Peregrin art combat couleurs : derrière cette expression, un artiste niçois qui transforme la peinture en un acte de résistance poétique. Dans chacune de ses toiles, Christophe Peregrin insuffle une énergie débordante, un désir farouche de dire et de dénoncer… mais toujours avec éclat et lumière.

Une vocation née du cœur
Né à Nice, Christophe Peregrin grandit dans une famille aimante où ses grands-parents encouragent ses premiers élans créatifs. L’étincelle se révèle au collège lorsqu’une professeure d’arts plastiques repère son talent et l’oriente vers les Beaux-Arts. Même si son parcours académique prend une autre direction, l’appel de la peinture ne le quittera jamais.

Christophe Peregrin et l’art combat couleurs
Autodidacte assumé, il trace son propre chemin artistique. Ses premières inspirations viennent de l’impressionnisme, avant qu’il n’adopte les codes du Pop Art : aplats de couleurs vives, compositions franches, influence des bandes dessinées. Ces éléments deviennent les outils d’un langage pictural engagé, capable de parler au plus grand nombre.

L’art comme langage engagé
Pour Christophe Peregrin, peindre c’est prendre position. Inspiré par l’actualité ou par des figures admirées, il délivre des messages forts sur la violence, l’injustice et les fractures sociales, tout en enveloppant ses toiles de pigments éclatants. Cette tension entre gravité du sujet et gaieté visuelle donne à son travail une force unique.

Influences et singularité
Ses références vont de la vivacité d’un Toulouse-Lautrec à l’énergie brute d’un Basquiat, en passant par la sensibilité d’un Pissarro. Pourtant, Christophe Peregrin art combat couleurs n’est jamais imitation : il fusionne ces influences pour créer un univers ancré dans son époque, à la fois accessible et percutant.
Un parcours libre et lumineux
Ses œuvres ont été exposées dans des lieux emblématiques de la Côte d’Azur – Forum Nice Nord, château de Crémât, mairie de Saint-Laurent-du-Var. L’artiste rêve aujourd’hui d’expositions à Saint-Paul-de-Vence et à Paris, non pour la gloire, mais pour élargir le dialogue avec le public et faire vibrer son message.
Une œuvre qui apaise et réveille
Ses tableaux sont des respirations, des électrochocs chromatiques qui éveillent les consciences tout en réchauffant les cœurs. « Je veux réveiller l’émotion, bousculer sans assombrir », confie-t-il. Dans un monde souvent gris, Christophe Peregrin rappelle que l’art peut encore être un cri sincère — un cri qui soigne.

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