L’art est souvent un moyen d’exprimer ses états d’âme. L’art de la sculpture est souvent un moyen pour les artistes de rendre hommage à un monde, à un univers. D’un bloc, des visages, des lignes, des réflexions se laissent entrevoir, comme si un fruit passait à l’état de fleur. Pour Christophe Rollin, l’art est un univers parallèle, « le visage de l’inconscient, peut-être ? ».
Dès l’enfance, Christophe Rollin s’émerveille de cet art. C’est ainsi qu’à l’âge de dix ans, d’une main pleine de tendresse, il offre sa première sculpture à sa mère. Pourtant, ce n’est que bien plus tard qu’il se rend compte de l’importance de cette discipline dans sa vie. Il s’oriente alors vers la sécurité. Un bac scientifique, des études en génie civil et une entreprise à la clef. Mais incapable de se détacher de cette passion, il devient son propre maître. Il lit sur le sujet, se documente, observe en visitant des expositions et musées, cultivant alors cette passion.
